Strasbourg, le 11 juillet 2000                                                             T-PVS/Emerald (2000) 3

[T-pvs Emerald 03f]

CONVENTION relative à la conservation de la vie sauvage

et du milieu naturel de l’Europe

Groupe d’experts sur l’établissement du Réseau Emeraude

de zones d’intérêt special pour la conservation

Strasbourg, 18-19 septembre 2000

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Le projet pilote du réseau Emeraude en Russie

- Rapport -

Document ébabli

par la Direction de l’Environnement

et du Développement durable


TABLE DES MATIERES

I.          L’équipe du projet Emeraude et ses tâches spécifiques....................................... 3

1.         Objectifs.......................................................................................................................... 3

2.         Equipe nationale.............................................................................................................. 3

3.         Liste des activités............................................................................................................ 4

4.         Ventilation des coûts pour les activités menées............................................................... 4

II.                Les principaux types de désignation des zones naturelles protégées

dans la Fédération de Russie................................................................................... 4

III.       Le projet du réseau Emeraude : problèmes et solutions..................................... 5

1.         Préface............................................................................................................................ 5

2.         Remplir le formulaire standard de données..................................................................... 6

IV.       Liste des sites Emeraude dans la Fédération de Russie...................................... 9

V.                 Suivi du projet pilote et autres travaux

Concernant le développement du réseau Emeraude en Russie........................ 10


I.                   L’équipe du projet Emeraude et ses tâches spécifiques

1.         Objectifs

Mettre au point une base de données pilote, contenant une grande part des zones d’intérêt spécial pour la conservation (ZISC) et soumettre la proposition des sites sélectionnés au Comité permanent de la Convention de Berne.

2.                  Equipe nationale

·                    Chef de projet : Dr A.S. Peshkov, Directeur de l’Institut federal de recherché sur la nature (VNIIprirody)

                    coordination du processus Emeraude au niveau national (Comité d’Etat pour la protection de l’environnement en Russie) ;

                    mise en œuvre de toutes les activités en vue de la construction du réseau Emeraude ;

                    supervision du travail scientifique ;

                    gestion quotidienne des activités Emeraude.

·        Equipe scientifique dirigée par A. Belousova

            Dmitry Otchagov, spécialiste des zones protégées,

            Dr Galina Lomakina, botaniste,

            Dr Yuri Schadilov, ornithologue et mammalogiste,

            Nikolay Shilin, ichtyologiste,

            Nikolay Kozlov, entomologiste.

                    élaboration d’une méthodologie pour remplir les formulaires standards de données en fonction des particularités russes ;

                    collecte des données sur les espèces et les habitats en vue d’une estimation de leur état de conservation et des critères biologiques requis pour leur sélection en tant que sites Emeraude individuels ;

                    rédaction de la proposition relative à la sélection des ZISC.

·        Expert technique, Michail Tolmachev

                    installation du logiciel Emeraude,

                    assistance technique, résolution des problèmes techniques.

·        Administrateur, Georgy Kalinin

                    soutien administratif au chef de l’équipe dans les activités quotidiennes ;

                    organisation de l’atelier ;

                    réalisation de tous travaux de traduction (interprétation et traduction) ;

                    accomplissement d’autres tâches d’ordre organisationnel et financier ;

                    soutien dans l’élaboration d’un rapport final.


3.                  Liste des activités

1.                  Organisation et conduite d’un atelier avec la participation des experts du Conseil de l’Europe et du Comité d’Etat pour la protection de l’environnement de Russie.

2.                  Traduction de la documentation [T-PVS/Emerald (99) 1, T-PVS (99) 36, T‑PVS/Emerald (99) 2] en russe.

3.                  Constitution d’une équipe nationale Emeraude.

4.                  Elaboration d’un stratégie de travail sur le projet pilote Emeraude.

5.                  Installation d’un logiciel et formation des principaux participants.

6.                  Sélection d’une région possédant un nombre d’habitats représentatif des zones d’intérêt spécial de conservation.

7.                  Evaluation de la présence des habitats des espèces dans la région géographique boréale.

8.                  Construction d’une base de données pilote (vingt-six sites dans la région nord-ouest de la Russie, la Carélie) :

a.                  élaborer une méthodologie pour remplir les formulaires standards de données en raison des particularités russes ;

b.                  rechercher les moyens de corriger les erreurs des logiciels ;

c.                   remplir les formulaires standards pour les sites sélectionnés.

9.                  Mise au point de la suggestion relative au suivi du projet pilote et à l’action supplémentaire à entreprendre pour le développement du réseau Emeraude en Russie.

4.                  Ventilation des coûts pour les activités menées

Coût d’organisation de l’atelier (20 personnes)............................................................... 7.500 FF

Coût du matériel.............................................................................................................. 7.500 FF

Coût de l’administration et de l’assistance technique.................................................... 10.000 FF

Coût du travail d’expertise scientifique......................................................................... 30.000 FF

Coût des experts extérieurs........................................................................................... 15.000 FF

TOTAL......................................................................................................................... 70.000 FF

II.        Les principaux types de désignation des zones naturelles protégées dans la Fédération de Russie

Les critères suivants sont définis pour le tableau « Statuts de protection ».

Pour la catégorie A

RU.01.

Zapovednik (réserve), niveau fédéral/national (Catégorie Ia, UICN)

RU.02.

Nationalny Park (parc national) (RUS), niveau fédéral national (Catégorie II, UICN)


RU.03.

Prirodny Park (parc naturel), niveau F/N (Catégorie II, UICN)

Gosudarstvenny prirodny zakaznik (réserve naturelle d’Etat), niveau F/N (Catégorie III-V, UICN)

Pamyatnik Pnrody (RUS) (monument naturel), niveau F/N (Catégorie III‑V, UICN)

RU.04.

Toutes les autres :

Prirodny zakaznik (réserve naturelle), niveau régional

Pamyatnik Prirody (monument naturel) (RUS), niveau régional

Dendropark (arboretum)[1]

Botanichesky Sad (jardin botanique)1

Genetichesky Rezervat (réserves génétiques)1

Zapovednye uchastki (zones protégées)

Curortnaya zona (zones de loisiers et de repos)1 etc.[2]

Ces catégories de zones protégées sont décrites dans la loi fédérale de 1995 intitulée « Des zones protégées ».

III.       Le projet du réseau Emeraude : problèmes et solutions

1.                  Préface

Le réseau Emeraude devrait à juste titre occuper une place clé parmi les programmes européens qui surveillent et préservent la biodiversité et les habitats menacés en Europe.

La participation de la Russie au réseau Emeraude représente une sérieuse épreuve pour cette dernière ainsi que pour le réseau Emeraude en général et en particulier le logiciel lui-même, car, dès la phase pilote, il y a déjà des goulots d’étranglement. Ainsi, pour l’instant, de nombreux critères quantitatifs, valables pour l’Europe, s’avèrent inacceptables pour la Russie. Mais nous pensons pouvoir résoudre les problèmes survenus et actualiser le logiciel Emeraude de façon à permettre à la Russie de prendre en compte ses intérêts écologiques.

On a commencé l’analyse des territoires selon les procédures d’évaluation de site acceptées pour le réseau Emeraude en prenant l’exemple de la Carélie. La Carélie occupe environ 20 % de la région nord-ouest de la Russie. Ce territoire se caractérise justement par une très grande représentativité en matière d’habitat ainsi que par un bon état de conservation de la majorité de ces habitats, qui, selon la Résolution n° 4 (1996), sont considérés comme menacés. Le territoire de la Carélie préserve encore dans leur état vierge des forêts boréales, des tourbières/marécages et de nombreux autres habitats qui sont menacés en Europe.


La sélection de critères pour les sites s’est fondées sur les facteurs suivants :

a.         les critères proposés dans la Recommandation n° 16 (1989) ont été considérés comme obligatoires ;

b.         lors de la sélection des sites, nous nous sommes en outre servis des critères suivants :

                    existence de données suffisantes pour remplir les formulaires standards de données du réseau Emeraude ;

                    intérêt pour la conservation de la biodiversité dans la Fédération de Russie et en Europe ;

                    bonnes perspectives de développement touristique.

2.                  Remplir les formulaires standards de données

Nous nous sommes trouvés confrontés aux problèmes suivants au moment de remplir les formulaires standards :

a.         A propos du tableau « Informations Ecologiques – Types d’habitats visés à la Résolution n° 4 (1996) »

Actuellement, nous ns sommes pas en mesure de remplir correctement la colonne concernant l’estimation quantitative de la superficie des habitats menacés exprimée en pourcentage de couverture (« superficie relative ») pour tous les sites disponibles, pour les raisons suivantes :

                    Le logiciel Emeraude ne permet pas pour l’instant de saisir plus de 44 habitats et nous avons dû faire nos descriptions dans des catégories supérieures (le formulaire sur les habitats menacés ne peut pas accepter plus de 44 lignes). Il est impossible de le remplir davantage. Mais pour les sites russes, il est nécessaire de multiplier le nombre de lignes. En Carélie, nous avons décrit au moins trois territoires pour lesquels le nombre d’habitats menacés (68, 89 et 134) est largement dépassé. Pour l’estimation du pourcentage de couverture de ces territoires, il conviendrait d’augmenter la précision des nombres – en allant au moins jusqu’à la troisième décimale.

                    En réduisant le nombre d’habitats dans la précédent formulaire « Informations écologiques – Types d’habitats visés à la Résolution n° 4 » ainsi qu’en incluant les données CORINE dans le logiciel Emeraude, la valeur de la différence entre le taux de couverture des habitats menacés et 100 % ou la somme des valeurs figurant dans le tableau en question est maintenue dans la fenêtre « Total » et n’est pas effacée si l’on appuie sur la touche « Annuler » ou « Précéd. » pour apporter des modifications. Lorsque l’on passe au tableau suivant, les données saisies concernant les habitats ne sont pas sauvegardées ! Seul le chiffre de la colonne « Total » est sauvegardé, qui n’a rien à voir avec les données qui ont été saisies après avoir modifié le tableau « Informations écologiques – Types d’habitats visés à la Résolution n° 4 ».

                    En Russie, il y aura constamment des cas où les habitats sont très importants et très intéressants du point de vue de l’environnement, mais dont on ne connaît pas la superficie en pourcentage. Afin de garder leur existence présente à l’esprit, on devrait ajouter un nouveau critère d’estimation : « aucune donnée » et le représenter par un chiffre. Dans CORINE, le chiffre utilisé était 99.


                    En outre, il serait tout à fait pratique d’introduire un critère d’évaluation qui signifierait que le taux de couverture est relativement faible. Dans CORINE, le même code (99) que celui utilisé dans le cas où l’information est inconnue était utilisé dans ces cas-là. Mais cela prête plutôt à confusion et il serait préférable d’introduire un code numérique supplémentaire.

D’après notre expérience, les données CORINE ont dû être amplement corrigées et de telles erreurs nous ont empêchés de publier les données sur les habitats menacés et les autres habitats des sites.

b.         A propos du tableau « Informations écologiques – Habitats – Autres types d’habitats importants »

                    Une erreur a été repérée dans le logiciel, car il est impossible d’indiquer plus de six types d’habitats. Or, pour les sites représentatifs du réseau Emeraude de Carélie, le nombre de ces habitats était largement supérieur à six ; nous avons donc dû laisser de côté les autres types et nous limiter à six. Ce tableau n’est donc pas complet, indépendamment de notre volonté.

                    Pour ce tableau, il est recommandé d’introduire la possibilité d’indiquer un pourcentage de couverture en fractions décimales et d’utiliser deux nouveaux codes – un pour les territoires dont la superficie est négligeables, et l’autre pour les territoires dont elle est inconnue.

                    Dans le tableau, le code n’est pas toujours préservé malgré une succession égale de caractères pour remplir le tableau. Si l’on veut apporter des modifications au tableau « Informations écologiques – Habitats – Autres types d’habitats importants », des données chiffrées réapparaissent constamment qui sont impossibles à effacer ou à modifier.

c.         A propos des tableaux « Informations écologiques – Espèces – Animaux, espèces – Plantes (Résolution n° 6) », qui sont remplis par les groupes – oiseaux, oiseaux migrateurs, mammifères, amphibiens/reptiles, poissons, invertébrés

Il serait fortement recommandé d’ajouter un nombre de paramètres biologiques importants qui nous permettraient d’évaluer l’objectivité du statut de l’espèce et l’importance des sites pour la conservation de celle-ci à l’intention des utilisateurs du réseau Emeraude, même s’ils ne sont pas des spécialistes. Pour la Russie, les données de ce tableau dans son état actuel ne fournissent pas suffisamment d’informations, car toutes les espèces de la Convention de Berne qui se trouvent en Carélie se sont révélées être soit des espèces communes et fréquentes, soit des espèces dont la population est minimale et négligeable comparée à celle se trouvant dans d’autres parties de la zone. Une telle situation est caractéristique de toutes les espèces sauf des espèces endémiques ; nous avons donc le cas de figure où des sites pour lesquels les formulaires ont été remplis pour toutes les espèces de la Convention de Berne sont laissés de côté comme non évalués alors que ce n’est pas vrai. En évaluant les sites en tant qu’habitats des espèces de la Convention de Berne, on devrait introduire un ou plusieurs paramètres supplémentaires dont la nécessité est dictée d’une part par l’absence de données quantitatives pour la majorité des espèces et, d’autre part, par l’impossibilité de comparer les superficies des territoires d’un site Emeraude distinct avec celle de la zone de toute la partie européenne de la Russie.

Il conviendrait d’inclure l’évaluation suivante de l’habitat des différentes espèces :

                      la part (en pourcentage) de l’habitat qui est habitée ou susceptible d’être habitée par l’espèce étudiée ;

                      la durabilité de l’habitat où l’espèce actuelle se rencontre ;

                      le type de succession auquel cette espèce est liée ;

                      le type de répartition de l’espèce dans la zone (largement répandue ou rare) ;

                      la relation entre le site étudié et l’aire de répartition de l’espèce dans son ensemble.


d.                  Les difficultés suivantes se posent lorsqu’il s’agit de remplir le tableau « Informations écologiques – Espèces – Autres espèces importantes »

                    En Russie, en raison de l’existence de vastes zones, il n’est pas possible de procéder à un décompte quantitatif des espèces sur des territoires distincts. On peut citer comme exception certaines espèces d’animaux sauvages dont le nombre peut être estimé sur la base de données à long terme fournies par les organisations de chasse (lynx, renards, ours, loups). C’est pourquoi il est nécessaire, en Russie, de se livrer à des études spéciales sur le terrain pour obtenir des informations sur les nombres de population de la plupart des espèces. Toutefois, selon toute probabilité, ces études de terrain n’ont pas été prévues. La Russie ne peut donc pas fournir les estimations quantitatives requises sur les populations. Parallèlement, ces évaluations sont inutiles pour les non-spécialistes de ces espèces puisque ceux-ci ne sont pas capables d’évaluer les populations totales des espèces et de dire si une petite ou une grande partie de ces chiffres représente ceux indiqués dans les chiffres du tableau. Compte tenu des particularités de la Russie et de la faible valeur de démonstration d’une évaluation qualitative de chaque espèce, nous suggérons d'appliquer les mêmes critères que dans les tableaux précédents :

                      la part (en pourcentage) de l’habitat qui est habitée ou susceptible d’être habitée par l’espèce étudiée ;

                      la durabilité de l’habitat où l’espèce actuelle se rencontre ;

                      le type de succession auquel cette espèce est liée ;

                      le type de répartition de l’espèce dans la zone (largement répandue ou rare) ;

                      la relation entre le site étudié et l’aire de répartition de l’espèce dans son ensemble.

                    L’autre problème s’est posé concernant le choix du critère de motivation pour l’inclusion d’une espèce. Les documents européens suivants ont donc été choisis à l’appui du critère de motivation d’inclusion des espèces proposé pour la Carélie.

Toutefois, au cours de la procédure de sélection de la motivation, les contradictions suivantes ont été mises au jour: lorsque l’espèce est incluse en même temps dans un ou plusieurs documents internationaux et dans le Livre rouge de la Fédération de Russie, il était difficile de savoir quels critères devaient être sélectionnés. Dans ces cas-là, le statut de conservation défini dans les documents internationaux a été comparé à celui du Livre rouge de la Fédération de Russie. Si, dans les documents internationaux, l’espèce était considérée comme « menacée » ou « vulnérable », nous avons utilisé, afin de déterminer la motivation pour inclure l’espèce, la position « Autres raisons ». Si le statut de l’espèce dans les documents internationaux était plutôt faible, nous avons utilisé la position « National ».

                    Certaines difficultés sont survenues pour déterminer le statut systématique. Les deux espèces d’insectes et les deux espèces de poissons qui sont menacées en Russie ne figuraient pas dans la liste de consultation du réseau Emeraude. En outre, deux espèces de plantes ont des noms différents en Russie. Trois espèces de poissons sélectionnées sont considérées comme une seule en Russie. Ainsi, pour finaliser l’élaboration des tableaux, les positions systématiques des espèces devraient être mentionnées, ou bien il conviendrait de permettre à chaque pays d’inclure des espèces supplémentaires qui ne figurent pas dans la liste de consultation.

e.                   Il serait plus pratique de pouvoir sélectionner « Projection » et « l’échelle » par la « liste de consultation ».

f.          Il est malcommode que, pour entrer des données dans les tableaux conformément à la procédure, lorsque l’on passe au formulaire suivant, le formulaire lui-même s’affiche à un autre endroit de l’écran et que, pour changer ensuite de page, il faille chercher où se trouve le bouton « Suivant ». Si le formulaire, et surtout la touche « Suivant », s’affichaient toujours à la même place, cela permettrait de remplir les formulaires plus rapidement.

g.         Pour faciliter l’inscription des indications dans les formulaires, il faudrait faire apparaître à l’écran non seulement le numéro du site mais aussi son nom, car, pour un expert, il est beaucoup plus simple de travailler avec le nom du site qu’avec son numéro.

h.         Le logiciel Emeraude n’offre pas la possibilité d’exporter une copie en la copiant sur une disquette (le message suivant s’affiche : « Error – Can’t find manager »).

i.          Nous suggérons que le réseau Emeraude incluse un nouveau formulaire dans lequel l’évaluation d’un site désigné se fera selon les critères développés dans le cadre de la Stratégie paneuropéenne de la diversité biologique et paysagère.

Résumé

A ce stade, la Russie a commencé à alimenter la base de données Emeraude. Toutefois, en raison de circonstances diverses, les formulaires remplis nécessitent des corrections qui ne seront peut-être possibles qu’après que l'on aura apporté quelques modifications au logiciel Emeraude lui-même.

IV.       Liste des sites Emeraude de la Fédération de Russie

1.                  Réserve Kivach

2.                  Parc naturel « Valaamskiy Arhipelag »

3.                  Ostrov Goly (situé dans le parc naturel « Valaamskiy Arhipelag »)

4.                  Réserve naturelle « Zapadnyi Arhipelag »

5.                  Lac « Vagatozero »

6.                  Réserve naturelle « Sorokskii »

7.                  Parc national en projet – « Volknavolikskii »

8.                  Réserve zoologique “Sortavalskie Ozyora »

9.                  Lac « Maslozero »

10.              Lac « Nyukozero »

11.              Parc national « Paanayarvi »

12.              Parc national en projet « Koitayoki »

13.              Réserve naturelle « Mys Kartesh »

14.              Parc national « Vodlozerskii »

15.              Réserve naturelle « Muromskii »

16.              Marécages Razlomnoe

17.              Marécages Levoboloto

18.              Réserve Kostomukshskii

19.              Réserve naturelle « Polyarnyi Krug »

20.              Réserve naturelle « Reka Koloda »

21.              Chuiskie Polia

22.              Olonetskie Polia

23.              Kem-Ludy (situé dans la réserve Kandalakshskiy)

24.              Réserve naturelle « Arhipelag Kuzova »

25.              Réserve naturelle « Tolvoyarvi »

26.              Réserve naturelle « Pomorskii »

Nous terminons actuellement de rassembler les informations sur le parc écologique « Znamenskoe – Sadki » près de Moscou. Celles-ci seront envoyées ultérieurement.

V.                 Suivi du projet pilote et autres travaux concernant le développement du réseau Emeraude en Russie

1.                  Exécution du travail de suivi et correction des données relatives aux sites sélectionnés sur le territoire de Carélie en raison de certaines imperfections du logiciel Emeraude.

2.         Activités en vue de définir, pour les sites Emeraude, un statut juridique régional et national du territoire avec limitation de la gestion, et soutien en faveur de l’intégration des sites Emeraude au système d’Etat actuel de surveillance des zones protégées.

3.         Poursuite du processus de mise à jour du logiciel Emeraude en apportant des changements à certaines positions, à savoir :

–          adaptation de l’échelle d’évaluation des espèces de plantes et d’animaux en tenant compte des principes supplémentaires de durabilité de l’habitat;

–          adaptation de l’échelle d’évaluation des espèces de plantes et d’animaux en tenant dûment compte des particularités russes;

–          inclusion dans le logiciel d'un nouveau formulaire d’évaluation des sites désignés selon les critères proposés par la Stratégie paneuropéenne de la diversité biologique et paysagère.

4.         Expansion du réseau Emeraude par l'inclusion d'informations concernant le territoire nord-ouest de la partie européenne de la Russie.



[1] Conformément à l’avis des experts de l’institut, ces zones désignées n’ont aucune relation avec les index de la catégorie UICN, car l’objectif de conservation de la biodiversité n’est pas indiqué comme étant leur priorité.

[2] En vertu de l’article 2 de la loi N33-FZ du Gouvernement russe « Des zones protégées » (1995), en date du 14 mars 1995, les autorités fédérales et régionales peuvent établir un nombre indéfini de nouveaux types de zones protégées.